DIPLOMATIE INTERNATIONALE ET SOCIETE Par Dan Albertini RELATIONS INTERNATIONALES à l’IUSMM

11 August 2015

Entre (). Quand Kouchner voulait le directoire de l’OMS dans son tableau de chasse, un confrère africain correspondant aux UN m’avait accusé d’avoir coupé l’herbe sous les pieds du p’tit bavard. Il se voulait humoristique. Risible je pense et, ça me fait encore penser au passé. Kouchner était bien responsable de la santé chez lui lors de la canicule qui avait tué. Il n’avait su gérer pour un pays tandis qu’il voulait se la faire. Global. Nul regret ! Fermons les ().

Montréal Citée parfaite du citoyen en santé est une illustration d’éléments de notre observatoire dans un cadre de relations internationales à l’IUSMM. C’est aussi la suite et la fin d’un énoncé : le dilettantisme siège à l’Hôtel de Ville, rue Notre-Dame. Mais c’est surtout un couvercle de marmite soulevé. Il dévoile ce qui mijote dans un incubateur de recherches scientifiques universitaires en ville. La Santé Ambition. L’OMS ne saurait de gré, rester ignorante dans ses besoins internationaux de cadres experts. Néanmoins, la ville a-t-elle l’intelligence d’aller se chercher un label ? Nous ne parlons de truc du p’tit business de fourchette verte ni de trous dans l’fromage. Nous avons à l’esprit le standard d’un haut savoir engagé à y demeurer, comme un millénaire de médecine chinoise. Une économie de relations internationales dotée d’une compétition interne multi pôles. C’est là où interviendrait une curiosité scientifique audacieuse. Dr. Alain Lesage de l’IUSMM.

Avant d’élaborer, je dois citer entre autres sources, Dr. Michel-Ange Momplaisir, dans son ouvrage Le Vaudou Haïtien dans l’Arc-en-ciel des religions. Des passages de l’ouvrage de Dr. Mario Beauregard qui corroborent. Les pouvoirs de la conscience qui suggère une troisième présence. Non matérielle. Chez St. Thérèse d’Avila que cite Momplaisir. Puis, l’étonnante expérience citée : un Tibétain défiant la notion de mort clinique. L’expérience hors corps vécu par une femme cliniquement morte. Les recherches libres sont donc interpellées à un niveau dépassant le cadre de références personnelles. Le sujet fait souvent figure d’expertise. Et, dans ce cadre, les experts locaux cités ne sauraient nier à leur tour une évidence. Une spécificité : la clientèle haïtienne observée, étudiée, pour certaines facultés. Momplaisir explique comment on l’avait par ignorance, assimilée à une pathologie. La psychiatrie de l’Hôpital Général Juif de Montréal aurait d’après certaines sources consultées, élaboré des études approfondies sur le sujet, autour des années nonante. Le terme recherche siège ainsi sur un standard élevé.

Transposons. Rémi Quirillon PhD, chercheur en chef au Québec, branle ce besoin québécois de financer la recherche scientifique fondamentale. Q. Dr. Lesage jugule-t-il en-dessous des moyens nécessaires, pour un tel standard ? Exutoire. Quand, pour dévier les objectifs, le maire invente une lutte anti radicalisation étrangère, dans une ville où les Hells financent pour lessiver des fonds criminalisés. Ils sont parents de politiciens, de policiers, de fonctionnaires. La comparaison n’est banale, bref, observons de gré la croissance outre-frontière des consultations es sciences, du dalaïlama. Rive Méditation. Donc, l’IUSMM représenterait hypothétiquement l’axe (1) d’une nouvelle diplomatie québécoise, comme est en train de le devenir la médecine ou l’oncologie cubaine. Pourquoi prioriser Montréal comme alvéole, y prêter une attention particulière ?

Ce n’est hors cadre dans ce Canada qui rendait infernale la vie des Cubains aux UN. Un pantouflard qui vient de se faire tirer l’oreille aux UNHCR, alors que Cuba se réconcilie avec DC. On ne parle de diplomatie de Frères mineurs capucins défiant les franciscains, pour réforme de chapelle. L’accusateur croix et bannière est aujourd’hui avec le taser montréalais atteint de paranoïa. Hors de tout doute raisonnable, un signe de dysfonction profonde d’une gestion qui patauge dans sa pathologie. Le politique où, le portrait nouveau de la ville était sombre à l’origine car il faut considérer les enfants de Duplessis, exéats de St. Jean de Dieu. Aujourd’hui, croisés en dehors des institutions toute vocation confondue, un sans-abri (4000 répertoriés à Montréal au coût de) se fait menacer. Agressé par un policier menaçant de l’attacher dans le froid. Alors, l’expert en neurosciences jugera-t-il le pauvre rabougri par effet de politique austère ou, le faiseur de politiques ? Quelle prescription quand l’argent paye des neurofeedback inaccessibles à ce mendiant ? Alors, nous devons considérer cette situation économique de défavorisés. À Montréal, loin d’une équation mathématique de manque à gagner, c’est un alphabet politique. Adopté et conçu par une série de pathologies. Le vice, la kleptomanie, l’égoïsme, le favoritisme. Q. La Santé mentale devra-t-elle les envoyer à l’ASAP, en théâtre intégrateur pour mise à jour chronique, en accéléré, non en cours d’éthique ?

C’est dans ce contexte que je me vois soulever Montréal a peur d’être Grand. L’expert montréalais doit-il se voir Ave de la Paix, ou des Amériques ? Où, des spéculateurs vous proposent leur expertise afin de réaliser ce que vous savez faire aussi bien à l’avantage de Montréal dépositaire de ce label. Avant d’arriver à destination, qui forme des élites pour l’international, mais a peur d’être grand. Se complait à former le tributaire de la pensée, avec spasmes d’éveil trop courts, comme élixir politique pour recalés des urnes, réveillé avec une proposition de création de brigade contre les crimes haineux visant à cacher le mot Islam tout en attirant ses capitaux. N’offre rien au nombre croissant de sans-abris. Il faut combattre l’amnésie. Qui croira donc à une action diplomatique de Montréal pour un ancien ambassadeur recruté ? Pour une visite politique officielle cachée, de camouflage à coût d’état sans coup d’éclat dû au rang. Même si le président français reçoit au coût présidentiel, un maire libéral en campagne référendaire anticipée, pour offrir la garantie de non-ingérence malgré le non indifférence vieille de De Gaule. Une diplomatie de braconnier. Montréal politique ainsi devenue ville couverte, en plein dilettantisme, juste à côté d’une expertise de haute voltige bourrée d’ambitions à l’IUSMM.

IUSMM axe 1. D’abord mettre le citoyen en condition de santé mentale, donc capable de performer dans la cité. L’exporter. Transformer un institut de maladie mentale en piste de santé mentale. Comme pour la médecine cubaine, un chercheur français fréquente à ce titre l’institut. L’institut est implanté aussi dans des unités carcérales pour transformer le pensionnaire. Tous des besoins sociaux mondiaux d’importation.

S’il ne faut plaider comme un épicurien, il existe une autre réalité qui interpelle. La partition de l’ASAP (Alliance Socioculturelle & d’Aide Pédagogique). La mise en œuvre d’un enfant pauvre, sans reconnaissance de l’état, devenue un panier percé qui fait couler le moût vers d’autres rives. Partisanes. Les budgets sont alloués aux amis politiques afin d’appliquer la récurrence. Ceci interpelle celui qui était de la rencontre de la Chambre de Commerce de Montréal où le participant de l’atelier de 15H30 dirigé par R. Quirion PhD, entendait parler du futur de la collaboration entre la santé et les industries créatives comme mission collective. Pourquoi le théâtre intégrateur proposé par l’ASAP ne peut tout simplement recevoir ses crédits ni ses créances dans ce contexte de relations internationales ? Parce que cette expertise vient de son ancienne dénomination. Alliance Théâtrale Haïtienne initiée par un chercheur dit exogène, Éternel Victor. La question est importante puisque la thématique de 11H15 propose : comment la créativité peut-elle influencer les comportements, présentée par Scott Connolly de Population Media Center (US-Vermont). Mieux encore, Cossette lance son observatoire santé, pour reprendre plus tard vers 14H30 : l’Art à l’hôpital pour de nouvelles perspectives avec le patient. Qui a suivi celle de : Guérir dans des environnements inclusifs. Pattern réussi par l’ASAP. Puis, objectif que l’ASAP réalise en collaboration avec l’IUSMM sous la direction de Dr. Lesage en avril-juin dernier, avec une clientèle pourtant psychotique. En sus ici même à Montréal, avec un maire absent misant sur l’extra en sécurité, jouant la politique de la chaise vide. Ne voulant s’en rendre compte d’un champ d’application du TI de l’ASAP

Il y a certes des interrogations à satisfaire même avec une thèse scientifique avancée, car elle peut héberger sinon nourrir des faiblesses. Beauregard sensibilise dans ses ouvrages en élaborant sur la faiblesse de neuroscientifiques matérialistes. Cependant, il pêche par conviction religieuse dans Les pouvoirs de la conscience, où il propose la lecture de CT scan ou d’ECG, comme démontrant la présence, d’une présence extérieure. Divine, d’après sa littérature. Cependant, l’instrument expert n’est configuré en aucun sens pour découvrir l’immatériel déiste. Sur une base de foi personnelle du lecteur, de l’interprète oui. Il nous avoue d’ailleurs en entrevue, que ses expériences ne tiennent compte du mental haïtien dit en état de crise de possession. Et, comparer ses études dans le but de discerner scientifiquement la nature de la divinité. Importante nuance car, moult Haïtiens ont été diagnostiqués en psychiatrie pour ce phénomène, tandis que son co-auteur, Momplaisir neurochirurgien à la retraite, définit dans son ouvrage Le Vaudou Haïtien dans l’arc-en-ciel des religions, que ces cas ne sont pathologiques. Ce qui est loin du fait comme l’astronaute Julie Payette, là-haut dans un exercice d’arrimage de bras spatial télécommandé, elle-même présente au forum. Ceci n’enlève les crédits de Beauregard !

Si Dr. Lesage traverse souvent seul des continents avec son bagage expert, reconnaîtra-t-il ses propos récoltés en entrevue. Je cite : « je suis médecin, mon soucis premier est d’apporter une amélioration, un soulagement au patient ». Ce qui sous-entend d’abord, un risque traditionnel : la continuité de la régression du sujet observé, sur une base erronée. En effet, quand on considère la pathologie appliquée aux Haïtiens sur la base du Vaudou, la complexité des approches culturelles reste son premier obstacle non franchi. Ensuite, le médecin risque à chaque fois qu’il se trouve dans une situation d’incertitude, en zone inconnue, de rendre encore plus psychotique un sujet traité, par la prescription. Même s’il est au timon de l’audace à l’IUSMM, si les rapports connexes stagnent. C’est là l’obligation de résultats.

Cependant, ce sont ces précieuses de Montréal qui se développent au point de s’inquiéter tout en se rassurant. Ce qui nous pousse à traiter de relations internationales favorables, ce qui se passe à l’IUSMM, à l’INSM, après un bras spatial hyper connecté.

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